Page:Sterne - Œuvres complètes, t1-2, 1803, Bastien.djvu/339

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Mon Père.

Il a très-bien lu le sermon.

Le Docteur Slop.

Fort bien !

Mon Oncle Tobie.

À merveille !

Le Docteur Slop.

Il n’y a que ses commentaires qu’il auroit pu épargner.

Trim.

Ma foi ! je n’ai pu y tenir…

Mon Oncle Tobie.

Le pauvre garçon !…

Trim.

Je sais bien que j’aurois mieux lu, si j’avois été moins affecté.

Le Docteur Slop.

Cela est vrai.

Mon Père.

Point du tout. C’est précisément ce qui te l’a bien fait lire. Morbleu ! il seroit à souhaiter que nos prédicateurs débitassent les leurs avec la même force ; ils feroient plus de sensation sur leurs auditeurs.