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Page:Stevens - Contes populaires, 1867.djvu/169

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LE PÈRE MATHURIN

que des roches et un rondin d’une bonne grosseur, autour duquel se trouvait enroulé un morceau de papier que le notaire public de l’endroit avait orné de ces mots, écrits de sa plus belle main :

— Je lègue ce rondin pour casser la tête à tout père qui commettra la sottise de se donner à ses enfants.