valeresque, mais trop épris de la chasse, des petits vers français et d’une jeune épouse qui, finalement, prête les mains à son incarcération, dans, une forteresse, pour être plus libre de jouer le rôle de Catherine II, ou de Sémiramis. Vous y verrez aussi comment les témoignages d’héroïsme de la jolie Séraphine se bornent à un coup de couteau donné au premier ministre qui, jaloux de gouverner en son nom, voudrait être un favori dans toute la force du terme, et comment la proclamation de la République met fin, soudain, à ces complots de cour, à ces intrigues, à ces drames secrets ; comment le Prince et la Princesse, fugitifs et dépossédés, à pied, sans le sou, se rencontrent dans la campagne, oublient leurs désastres, leurs grandeurs, et se mettent tout simplement à s’aimer, ravis, en somme, de cette chute qui les a jetés aux bras l’un de l’autre pour jamais.
» La réconciliation de Leurs Altesses sur le grand chemin est un des rares duos d’amour que nous ayons rencontrés au cours des romans qui nous occupent. Il est charmant, ce duo, car l’esprit enfin y fait trêve, l’esprit moqueur, léger, glacial et trop tendu, dont M. Stevenson abuse. »
Je vous cite ce passage en entier, car c’est la seule allusion, courte ou longue, que j’aie pu