Page:Stirner - L’Unique et sa propriété, trad. Reclaire, 1900.djvu/40

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ma cause, et je ne suis ni bon ni mauvais, ce ne sont là pour moi que des mots.

Le divin regarde Dieu, l’humain regarde l’Homme. Ma cause n’est ni divine ni humaine, ce n’est ni le vrai, ni le bon, ni le juste, ni le libre, c’est — le Mien ; elle n’est pas générale, mais — unique, comme je suis unique.

Rien n’est, pour Moi, au-dessus de Moi !