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pective de cette délicieuse contrée, et j’ai tâché de l’y mener sûrement, en l’avertissant prudemment des coups de mer, tempêtes, écueils, etc. Je serai trop récompensé de mon travail et des peines que j’ai prises pour mettre de l’exactitude dans ce petit traité, ce qui n’a pu se faire que par un grand nombre d’expériences, s’il fait en ce pays charmant de fréquens et d’heureux voyages qui le comblent, non de richesses, ce souhait est trop commun et trop financier, mais, d’inexprimables plaisirs.

FIN.