— < Que ditaU je? L« vaoiié tient aui chotes viiaet; et tu U met» en moi. Vain d'éire obscur, vain dVire illustre : ti lu l'avait pu faire, pourtant, quel eût éié ton choix ? En doutes tu ? Comme le chorion enveloppe le fœtus, la gloriole l'emmaillote.
Tu es de cette ville, où nous sommes ni* tous les deux ; mais je n'en étais dé]k pas, avant d'y itre : & toi d'y triompher ; à moi de tourner le dos à tes triomphes.
IX. • Liisse moi la grandeur . Je te laisse la gloire. C'est le moins que chacun de nous quitte i l'autre ce qu'il n'a pas.
Ta part n'aura i elle pas toujours iié la meilleure ?
Pareil aux autres, et cher & tous, plus vide que la carpe brë- haigne, tu auras pu vivre parmi ceux qui vivent. Ainsi, dans l'étang, lu as connu U joie,
La joie ! que nul ne goOte, À moins de n'en pas être digne.
Tu es ce qui passe, et qui reçut le privilège de passer.
Ta lite d'oiseau familier, à plume jaune, bat, en gazouillant de plaisir contre les barreaux dorés de la réputation et de la mode,
Tu es le merle d'or, l'oiseau siffleur dans la volière de* hommes,
^poîl'tn ^nr II' urrrhiùt M^it^ }t^\ iheux ^onl rjfli/^. rt nul ne
les voit . . .
Tu es gloiieux, et c'est k moi qu'est due la gloire. Tout est bien. Point de rivalité, •
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