Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/127

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M* poitrine craque, comme la banquite det pà\t%, aux rajoni du toislice ;

Mait i' «ii. et je brave.

m. Titan [dt plus pris.

Frère, frère.

J'arrive comme la pentëe du courroux

Quand elle j'élance, casquée et la lance au poing, —

Du cœur qui brûle.

Droite Cl flammr '

Frère, frère,

Attend) loi i souffrir une douleur intolérable :

Pélion jur Owa —

C'ejt moi,

Pour baudrier, ceint du Caucase,

Qui vais monter sur toi,

Sur ton dos large, Atlas,

Et sur ta nuque, où perce l'os qui porte la sphère du ciel bran-

��lante, boule t

��Comme le jongleur, sur le bout de l'ongle, laisse vaciller la

Ha, ha. Olympien, les Titans sont en vie !

O frère. Supplicié vainqueur, vicn^, viens! J'escalade 1

��II

TITAN

��I Le Titan, épuisé de fatigue, sans cesser d'eKilader le ciel,

depuis tant de jours qu'il n'avait pas desserré les dens, s'écria :

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