Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/181

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

IV. Cromwell, det deux lalont, lient ani dallet kumidet, coaat une itaïue de fer ï ton tocle d'airain.

Il regarde de si haut ce mort,

Qu'k toui regard il le frappe, le lue cl le relue encore.

V • Elle ett à mes pied» l'abjecie rojauié ; et rien ne la reU*era.

Je tuii ton lieutenant, ô Seigneur, roi detarméet;

Et comme la droite arme la mienne, ce que je frappe eti ailerré.

Il te tail, le bavard frivole ; il ne se vante plut ; il ne mrnt plut : c'est la première fois.

Par ma voix lu l'avait averti, tu l'avais men^n- ^rjpnrur, de cette rigidité et de ce silence : mais il ne t'a pas entendi

L'incurable légèreté de celle vie tans Ime, il f^lUii U mort pour la fixer.

O Seigneur, par ma main quel coup impérial tu as frappé I

Humblement, Sabbaoïh, je te rends grlce de n'avoir choisi pour terrasser U levrette de Bélial, le prince de Babjrlone,

L'immonde rojrauié, cette câlin de l'opinion, qui se vend pour plaire, et qui prévarique pour durer.

VI. a Si le bourreau avait fui l'heure vengeresse, s'il t'était dérobé au devoir du billot,

Pour toi, Seigneur, j'aurais moi même saisi la hache.

Et je l'aurais moi même asséné, le coup juste dont tu prononças la sentence.

Et qui • découronné les mensonges d'Achab et de Sodome, biiards en Angleterre. Car, s'il le faut, aussi brutalement que l'on coudre le cuir, quand on le trempe dans la jusée, je mets la main sur ton ennemi. Seigneur, je lui abats la tèle, le prenant pur la barbe, et les poils tombent dans la mare des veines.

Merci k toi, Srifjucui, iu t ' >ui> l'oulil de (a

vengeance.

VII. « Tu uuii, v.,ii.ules Stuaii, ti j."ii. .4 |..t....tic foi' •■■^- ■»•.-> Tes lèvres plies ne s'ouvriront plus pour irompei

Car lu mentais sans cesse, rui de peu. Que j'eusse puni du fouei v^v '••-

— i3i -

��, r^mr <•« 

�� �