Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/182

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Et chassé de ma ferme, s’il avait seulement été mon valet de charrue..

VIII. ( Toute la laideur, que j’ai ai biea codduc, et <)M Jéovak d*te»te, —

Elle est peinte lur te« traits blémet par la mort, le peintre de Dieu —

Qui ne trompe point, et qui, comme les peintres decoar, se flatte pas.

IX. « Tu rougirais de ta gravité, si tu pouvais la voir : elle jure avec toi, et semble un de tes mensonges encore.

Tes lèvres sont flétries. Ton front est bas.

Et toute ta figure est une monnaie sans aloi.

Dont l’effigie est effacée par la débauche.

Il le reste du fard aux joues, et sous les jeux.

Tu t’es peigné, sans doute, tu t’es maquillé pour la mort f

Qu’avais tu besoin, mignon rojral, de ces cotmétiqact suprêmes ?

La mort voulait de toi, même si tu n’avais pas voulu d’elle :

Le Seigneur a béni ce mariage, et m’a choisi pour ton bettman.

Je t’ai donné. Tune changeras plus de maîtresse, Cbarfes.

Et i’espêre que tu rs d.imné. Car moi ir ne le bais point, si Dieu ne te hait. >

X. Par l’air épais et lourd, nn souffle glacial coamt q« cowW la flamme de la torche, comme la brise de mer pousse d’un seal cAté la crinière des chevaux sur leurs jeu, par vent du nord sur la roalc de Douvres.

El la lueur funèbre de l’aube filtra vers l’Orient, pareille k une taie.

Le fort Cromvtell, au large dos. i la large tête.

Regarda vers le ciel, et rêva .

Sur sa large face hllée, table de pieiie, pet(aji la lumière pro» fonde et fixe des deux jeux;

Et l’on eût dit le front spacieux d’une citadelle marine, où dardent jumelles les gueules des canons.