IV. Car TOi seul regardt corrompent.
Cet regardt, chemins de reptiles dans la boae, oè rampeai «os Imes anoelées.
V. Ce coeur est un ulcère, où le monde a passé : empoisonné de vie, et par l'homme creusé, la pensée de l'homme le reooutelle.
Pourquoi plaindrait il ses bourreaux de leur misère^ et m vermine de la basse horreur qui lui est propre?
Je nage dans le dégoût des bomBC»; et, aMintenant délivre d'eux, je rougis de mon mal, et de tes avoir aimés : j'ai konie de ma pitié.
VI. Dans le fond de mon ime, comme les fenilies mortes iaa* b forêt, — je sais ce que vous êtes, je le sais !
Le vent de leurs cris et de leurs murmures n'emporte pins qo'mn flot d'espoirs déchus et de rêves desséchés.
VII. Lequel de vous connaît la douleur? — Aussi, pas ■■ ac U vénère;
Et pas no ne respecte l'abtme, qui s'ouvre dans aac divine
plaie.
VIII. Qui de von» sait U douleur? — A peine, si votis pratique» la crainte ;
Vous n'avez éprouvé que la peine, qui nait du manque ; et vous n'avez souffert que par défaut de coeur. .
IX. Mais certes, vous n'avez pas conçu la rople détresse, qui cherche des supplices, pour mériter dr n'rn iamait m.<«auer. Et la plaie vous le dit,
Vous n'avez pas été jugés dignes qu'l un seul de vous le trésor de U souffrance fût coo6é.
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