III
PLAINTE DE PROMETHEE
��Li Trr*N Uvi di Jormt mmt.
I. Comme moi dant le* lient, Jupiter, triomphe daos la pouuiirel A (on lour d'éire grand, désormais : La grandeur te mesure couchée, dans la mort et ta défaiie.
il. Je te regrette, Jupiter : et je voudrais te retsuiciter.
Tu était un ennemi, digne du moint qu'on le combatte. Et contre Jupiter, du moins, j'avaii goût ï lutter.
III. Mon superbe ennemi n'est plut. .
Que ferai je encore, et que me rette t il?
Je n'ai plut que cethommet, l'engeance qui rampe tuf le coeur, et n'est debout que sur tes piedt.. Vout m'avez trop dé(u, hommes; et vout me dégoûtez.
O larmei de la joie, quelle toif j'ai eue de vout I . .
Mail la tource est tarie, que versait dans mon Ime la tueur du combat.
IV. Plus de lutte, plut de prix, plut rien que la morne victoire. . Hébé seule m"' f'^inié ik la ji'i-' iiT>m.iti.-ll» nuis l'Olj^mpe
est détruit. . El par moi
La douce Hébë, la folle Hébé eti icttce tout let ruines.
V. Fût ce pour te baîr encore, et fût ce pour souffrir de la cruauté,
��M' —
�� �