Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/96

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DÉDICACE DE L'OLYMPE

��I. Z«Û$ le Pire fil un »igt>e : le» Muu-i chanifre nt : Gloire 1 Cloiie '. Et joie !

Tous Ici eipacet ëtiocelaos fiieot chaater ï Icun lumicre* : Eiohé I Joie !

Et tout ce qui vit tnr U tene, dans l'ait et dans lei eaai, re- tentit & cette joie, comme les cymbales lous le poing des Busiciens, «jai rythment la danse.

II. Le jour était venu que le radieux Olympe, uheré dans le ciel, allait recevoir le foyer des dieux.

Aurore, Héhi, et les ravissans immortels qui sourieni i caase de leur éternelle jeunesse, s'empressaient sur les pas du Père, en scaan des roses et des violettes. Les jeunes déesses riaient sans bruit, comme rient les sources, de leur seule présence.

Zeûs le Pire fit un signe : et tous les dieux se mirent à sa suite. Et lui, il s'avança, seul.

III. Sur le seuil de U demeure divine, l'architecte Apollon, le pl«s beau des dieux, attendait le Père ; et près de lui, aussi belle, mais plus froide et muette se tenait la pensée du Père, sa soeur.

Les fleurs cessèrent de tomber. Les ondes de l'etber frémircBi de vie. Le silence infini s'écouta comme son hymne. Et l'attente ravie «les dieux se fixa dans un puissant sourire.

Et comme Apollon, de ses lèvres plus claires que les boatou de rote qui bourgeonnent dans le feu, allait uluer le père, — Z«At l'anétt en le fixant des yeux.

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