Page:Suarès - Les bourdons sont en fleur.djvu/54

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me au matin.

d, LORENZO, s'adressani toujours à François. Une belle nuit, une nuit d'amour ! {Ému.) Mais vous chan- celez , cher frère ?

d. FRAI^ÇOIS, faiblement. Ce n'est rien; ne {per- dons plus de temps .

€. LORENZO. Comme vous êtes défait! et. FRANÇOIS. Je ne sais ce soir ce que j'ai . Le péril de Sandro m'a mis en peine . Je ne sersii tran- quille qu'à son chevet .

CL LORENZO, ouec sollicitude. Toutefois, reposez- vous quelques instants. Vous ne pouvez tenir debout. d. FRANÇOIS. Non , non , point de halte . Cl LORENZO, calme. Si vous n'y consentez, vous n'arriverez pas .

d. FRANÇOIS. En vérité ? ô Jésus ! d, LORENZO. Croyez-moi. Là, seyez-vous sur le tertre . Appuyez votre tête à mon bras . // s'agenouille près de lui, et F installe comme il a dit. d. FRANÇOIS. Tu es bon , Lorenzo. d, LORENZO . ]e ne suis pas sans reproche , vous le savez.

et, FRANÇOIS, /aj6/emen/. Vraiment, Lorenzo, ne viendras-tu pas avec nous ?

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