Page:Suarès Péguy.djvu/103

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de France, plus que sur le marbre et le granit.

Tu es sauvé. Sur ton corps sacrifié, la mort a mis le sceau de la vie éternelle : tu l’as, comme tu l’as méritée, et comme tu y croyais.

Ton Dieu n’est pas trompeur. Il est pour toi comme tu fus pour lui.

Tu as toujours été dans la milice. Tu es à présent dans le triomphe. Adieu, Péguy.