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Page:Sue - Arthur, T3, 1845.djvu/194

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eu de noble et de bon dans ma conduite disparaîtra toujours sous le flot d’amertume et de haine que ma défiance à soulevé !

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Mais après tout, que m’importe maintenant le passé ! C’est pour revoir le tableau de ma vie se dérouler à mes yeux que j’écris ces lignes ; c’est pour raccourcir les longues heures de la solitude où je vis à cette heure à Cerval, dans le triste et vieux château paternel, si longtemps abandonné par moi.

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Ce fut donc dans l’ignorance complète du sort de du Pluvier que nous abandonnâmes l’île de Khios.

Quoique nous entrassions dans l’équinoxe, la traversée, souvent retardée par des vents contraires, fut assez belle.

L’aspect des marins russes me parut tout autre que celui des marins anglais.

Quoique ceux-ci soient soumis aux duretés