Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 6,1851.djvu/139

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du chevalier de Saint-Merry et de la princesse de Morsenne ; oui, voilà ce que vous aurez gagné. On s’apitoyait sur le sort de la pauvre duchesse de Beaupertuis ; eh bien ! l’on n’aura plus pour elle que mépris, dégoût et horreur ! Oui réjouissez-vous, chantez votre triomphe, il est beau, car la mémoire de cette Messaline qui croyait dormir en paix dans sa tombe sera traînée dans la fange, que vous aurez remuée, chère belle-mère, cher beau-père à la mode de Cythère, comme disait ma femme !

BONAQUET, à part.

Il m’épouvante !

LA PRINCESSE, au chevalier.

Mais ce monstre tombe en démence.