Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 6,1851.djvu/266

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Puis il murmura d’un ton grave :

— La justice de Dieu est parfois tardive, mais qu’elle est terrible !

Madame Bonaquet, remarquant la triste préoccupation de son mari, garda le silence.

Au bout de quelques instants, Jérôme reprit :

— Pardon, mon amie, mais ce que je viens d’apprendre…

— De quoi s’agit-il ?