Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 6,1851.djvu/84

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Maria est d’une pâleur livide ; elle semble inerte, et elle n’a plus conscience de ce qui se passe autour d’elle. De temps à autre, elle baise machinalement le crucifix que lui présente le prêtre.)

L’EXÉCUTEUR, à Maria Fauveau, avec une courtoisie excessive.

Ayez la bonté, Madame, de vouloir bien, s’il vous plaît, baisser la tête un peu davantage. (En disant cela, il pèse doucement du plat de sa main sur le sommet de la tête de Maria et l’incline.) Très bien Madame, parfaitement comme cela ; je vous remercie de votre obligeance. (Les cheveux de Maria continuent de tomber sous les ciseaux. À