Page:Sue - Le Juif errant - Tomes 7-8.djvu/524

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M. Hardy, et demain vous viendrez me dire, n’est-ce pas ? le résultat de votre visite.

Puis, se reprenant, Adrienne rougit légèrement et dit :

— Non… pas demain… Écrivez-moi seulement, et après-demain, sur le midi, venez.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Quelques instants après, la jeune ouvrière, soutenue par Agricol et Adrienne, avait descendu l’escalier de la triste maison, et étant montée en voiture avec mademoiselle de Cardoville, elle demanda avec les plus vives instances à voir Céphyse ; en vain Agricol avait répondu à la Mayeux que cela était impossible, qu’elle la verrait le lendemain.

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Grâce aux renseignements que lui avait donnés Rose-Pompon, mademoiselle de Cardoville, se défiant avec raison de tout ce qui entourait Djalma, crut avoir trouvé le moyen de faire remettre le soir même et sûrement une lettre d’elle entre les mains du prince.