Page:Sue - Les Mystères du peuple, tome 1.djvu/76

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— Ah ! — dit M. Lebrenn, — la vue de celui-là repose… calme… et console… Grâce à Dieu, il n’est pas le seul qui ait failli à la méchanceté proverbiale de sa race !

Puis, après un moment de silence, il dit en soupirant :

— Chère petite Ghiselle la Paonnière ! ta vie a été courte… mais quel songe d’or que ta vie !… Ah ! pourquoi faut-il que tes sœurs Alison la Maçonne et Marotte la Haubergière (C) n’aient pas…

M. Lebrenn fut interrompu dans ses réflexions par l’entrée de M. de Plouernel.