Page:Sue - Les mystères de Paris, 2è série, 1842.djvu/33

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

CHAPITRE III.

LE MARQUIS D’HARVILLE.



— Ainsi, vous le voyez, mon cher Murph — dit M. de Graün en finissant la lecture de ce rapport, qu’il remit au squire — d’après nos renseignements, c’est chez le notaire Jacques Ferrand qu’il faut chercher la trace des parents de la Goualeuse, et c’est à mademoiselle Rigolette qu’il faut demander où demeure maintenant François-Germain. C’est déjà beaucoup, ce me semble, de savoir où chercher… ce qu’on cherche.

— Sans doute, baron ; de plus, monseigneur trouvera, j’en suis sûr, une ample moisson d’observations dans la maison dont on parle. Ce n’est pas tout encore : vous êtes-vous informé de ce qui concerne le marquis d’Harville ?