Aller au contenu

Page:Sue - Les mystères de Paris, 3è série, 1842.djvu/246

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

rait aimé vaillamment, qu’elle aurait éprouvé l’amour dans tout ce qu’il avait de dévoué, de noble, de pur et de grand ; et pourtant il ne lui était plus permis d’inspirer ou d’éprouver ce sentiment ; car si elle aimait… elle choisirait en raison de l’élévation de son âme… et plus ce choix serait digne d’elle, plus elle devrait s’en croire indigne.