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Page:Sue - Les mystères de Paris, 3è série, 1842.djvu/261

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tristement de ce rire qui fait pleurer… jusqu’au frénétique qui rugit comme une bête féroce en s’accrochant aux grilles de son cabanon.

Nous avons enfin à explorer…

Mais à quoi bon cette trop longue énumération ? Ne devons-nous pas craindre d’effrayer le lecteur ? il a déjà bien voulu nous faire la grâce de nous suivre en des lieux assez étranges, il hésiterait peut-être à nous accompagner dans de nouvelles pérégrinations.

Cela dit, passons.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

On se souvient que la veille du jour où s’accomplissaient les événements que nous venons de raconter (l’enlèvement de la Goualeuse par la Chouette), Rodolphe avait sauvé madame d’Harville d’un danger imminent ; danger suscité par la jalousie de Sarah, qui avait prévenu M. d’Harville du rendez-vous si imprudemment accordé par la marquise à M. Charles Robert.

Rodolphe, profondément ému de cette scène, était rentré chez lui en sortant de la