Page:Sue - Les mystères de Paris, 4è série, 1842.djvu/346

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— J’accepterai donc — dit madame d’Orbigny avec un soupir.

Le premier clerc frappa à la porte.

— Qu’est-ce ? — demanda M. Ferrand.

— Madame la comtesse Mac-Gregor.

— Faites attendre un moment…

— Je vous laisse donc, mon cher monsieur Ferrand — dit madame d’Orbigny — vous écrirez à mon mari… puisqu’il le désire, et il vous enverra ses pleins pouvoirs demain…

— J’écrirai…

— Adieu, mon digne et bon conseil…

— Ah ! vous ne savez pas, vous autres gens du monde, combien il est désagréable de se charger de pareils dépôts… la responsabilité qui pèse sur nous. Je vous dis qu’il n’y a rien de plus détestable que cette belle réputation de probité, qui ne vous attire que des corvées !

— Et l’admiration des gens de bien !…

— Dieu merci ! je place ailleurs qu’ici-bas la récompense que j’ambitionne ! — dit M. Ferrand d’un ton béat.

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À madame d’Orbigny succéda Sarah Mac-Gregor.