Page:Sue - Martin l'enfant trouvé, vol. 7-8.djvu/158

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jéti sur ma tête une énorme perruque grise, longue, touffue, sur laquelle je plantai mon chapeau de Pierrot.

Je n’oublierai jamais l’émotion singulière que j’ai ressenti durant ces préparatifs si burlesques en eux-mêmes et cependant faits par moi d’une façon sérieuse, réfléchie, en songeant que ce déguisement allait me mettre à même d’accomplir un projet d’une extrême gravité.

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