Page:Sue - Mathilde, tome 2.djvu/241

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— Peut-être bien… répondit M. Lugarto. — Il faudra que je demande le goût d’une personne de mes amies, — et il me jeta de nouveau un regard expressif, — et en qui j’ai toute confiance.

— Monsieur Lugarto, vous êtes toujours un homme charmant, — dirent plusieurs femmes.

— Sans doute, quand je vous donne des bals, — répondit-il insolemment.

Nous passâmes pour aller attendre nos voitures.