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Page:Sue - Paula Monti, tome 1, 1845.djvu/232

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— Tu le sauras plus tard… laisse-moi.

Iris sortit.

Quelques minutes après, trompé par les perfides paroles d’Iris, M. de Brévannes, ivre d’une espérance insensée, couvrait de baisers passionnés le billet qu’il croyait avoir été écrit par la princesse de Hansfeld.

FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE.