que le lui permettent ses fonctions de maître de poste, de cultivateur, de marchand de bois ; enfin l’exploration de sa caverne, qui n’est jamais finie et qui demande du temps et de l’argent.
— Alors, dis-je, les deux lacs n’en font qu’un ; celui du dehors se déverse dans celui du dedans, aujourd’hui comme autrefois, avec la différence qu’il ne passe plus par votre caverne et qu’il a son entrée secrète à travers d’autres labyrinthes pareils à celui-ci, situés plus bas.
— C’est possible. Mais savez-vous que nous allons descendre ?
— Où cela ?
— À l’étage inférieur, s’il vous plaît. Nous sommes entrés par la lucarne. Permettez que je vous précède.
— Descendre est facile à dire, mais par où, encore une fois, par quelle porte secrète.
Pélissier se prosterne à la façon des Japonnais.