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prétendu sadique et divagateur sacrilège ? Cette dernière idée est un reste de la vieille vidange naturaliste de M. Zola d’où l’auteur vient à peine de s’élancer et dont il n’y aura bientôt plus, je l’espère, une seule crotte sur son talent ni sur sa pensée.
Un écrivain d’une telle santé de mépris qu’il a pu s’élever, absolument seul, jusqu’à la conception mystique de la joie au-dessus du temps, — malgré la plus abrutissante des éducations littéraires — et qui montre à cette squalide société contemporaine, si persuadée d’avoir escaladé le Mystère, le buste rigide et terrifiant du Sphinx éternel ! Il me suffit d’avoir vu cela devant quoi tout s’efface.