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Page:T. Corneille - Poèmes dramatiques, tome 4, 1748.djvu/602

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Il verra ce que c’est que de me percer l’âme.
Allons, Nérine, allons, je suis Amante et Femme ;
Il veut ma mort, j’y cours : mais avant que mourir,
Je ne sais qui des deux aura plus à souffrir.