Page:T. Corneille - Poèmes dramatiques, tome 5, 1748.djvu/484

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Crommer.

Ce n’est pas sans raison que vous vous étonnez ;
J’obéis à regret, mais je le dois.

Le Comte lui donnant son épée.

J’obéis à regret, mais je le dois.Prenez.
Vous avez dans vos mains ce que toute la terre
A vû plus d’une fois utile à l’Angleterre.
Marchons ; quelque douleur que j’en puisse sentir,
La reine veut se perdre, il faut y consentir.