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Page:Tagore - L’Offrande lyrique.djvu/66

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C’était ma part à cette fête, de jouer de mon instrument, et j’ai fait tout ce que j’ai pu.

Maintenant, je le demande, le temps est-il venu enfin, où je puisse entrer, voir ta face et t’offrir ma salutation silencieuse ?

XVII

J’attends seulement l’amour pour me renoncer moi-même entre ses mains. C’est pourquoi il est si tard, c’est pourquoi je me suis rendu coupable de telles omissions.

Ils viennent avec leurs lois et leurs codes pour m’attacher ; mais moi je leur