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Page:Tamizey de Larroque - Mélanges.djvu/217

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13 Novembre  
À Mgr Bagni, à M. Rubens[1], à M. de Mondevergues.
17 »  
À M. Aleandro, avec la boitte de la lunette et lettres du P. Vassan.
15 Décembre  
Au S. Aleandro avec 3 exemplaires des Sylves de M. Vias, Au S. de Bonnaire. Au S. Eschinard, au S. de Nozet, avec 4 caisses de prunes et une lettre au S. de Perussis[2].
23 à 27 »  
Au S. Aleandro avec la brique antique et les lettres hiéroglyphiques, à la Barclay, au S. Eschinard, à M. de Seve.
26 à 28 »  
À M. de la Ville aux Clercs, à Mad. de la Ville aux Clercs, à M. de Lomenie, à M. de Lisieux, à M. Le Beauclerc, à M. Le Pelletier, à M. du Puy, à M. Tavernier (avec lettres à M. de Malerbe, Buon, Ant. Estienne, M. Bignon, M. Duchesne (avec le traicté des Sarrasins), M. de la Baroderie (avec le plan de Beaugentier), M. Grotius.
  1. À Carpentras. Retour de Peiresc à Aix (R).
  2. Ce « Sieur de Perussis » appartenait à la vieille famille que représente aujourd’hui avec tant d’éclat un érudit et un poète d’autant de talent que de cœur, M. Léon de Berluc Perussis, ancien président de l’Académie d’Aix-en-Provence. C’était Paul de Perussis, baron de Lauris, dont le fils, Gaspard, fut viguier d’Avignon.