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pour mieux résister au torrent de luxure Malgré le cynisme éhonté des pourries, la majorité des élèves irréductibles à toute compromission sexuelle, dominait de beaucoup la minorité des dissolues. D’avoir une fois en passant, et pour savoir, donné son cul ou son con à lécher à la Française, cela ne tirait à aucune conséquence. Beaucoup de ces jeunes miss qui s’abattirent, jupes troussées et pantalon ouvert, sur la tête de Reine, considéraient la chose comme une petite saleté sans importance, acceptée par simple bravade de l’autorité directoriale. Puis, cela leur constituait le droit de n’être pas embêtées par les raccrocheuses de la Française, à qui elles pouvaient répondre qu’ayant goûté à la chose, elles trouvaient l’ordure l’emportant sur le plaisir, et que par conséquent, il ne leur plaisait pas de recommencer. Allait-on enfin respirer en paix sans être sollicitées par des perversités, vous proposant d’agréables sensations charnelles, si on se livrait aux manipulations et aux caresses de Reine ! Lisbeth ne s’affichait pas comme Hilda : d’ailleurs elle approchait du terme de ses