Française ? Elle ne cachait pas son feu pour
l’ancienne favorite, et un soir où celle-ci
rentrait à l’étude, après être allée rêver
sous un arbre, Rina vint s’asseoir à son
côté, à une place inoccupée, et lui murmura
que si elle voulait chercher, elle trouverait
dans sa poche un cadeau qu’elle lui destinait.
Hilda n’hésita pas : elle glissa la
main, l’arrêta une seconde sur la cuisse
qu’elle pressa doucement par dessus la
robe, l’enfonça dans la poche et constata
qu’elle était trouée. La main voyagea, sans
s’embarrasser, à travers les jupons, habilement
dénoués, ne rencontra ni corset, ni
pantalon, ni chemise, parvint droit au chat.
La belle sous-maîtresse eut un frémissement
à son contact, mais elle fendit bien
les cuisses pour la favoriser dans ce qu’elle
en attendait. Le chat de Rina était très
touffu, avec les poils assez raides, et au
milieu de ces poils, le clitoris se tendait
gros et ferme, assez gonflé. La main d’Hilda
en prit connaissance avec amour, son médium
le caressa d’abord gentiment, puis le
branla avec vélocité. De palper ce gros
bouton, cela l’émoustillait, elle mouilla,
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