Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894, tome 2, partie 1.djvu/65

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Les bourreaux, maçons occultistes, plongèrent leurs mains dans les entrailles de William Morgan, voulant mettre à profit leur crime pour expérimenter l’horrible système de divination. (Page 67.)

Alors, s’il faut en croire le récit de Bodin, une voix faible, une voix étrange et qui n’avait plus rien d’humain, se fit entendre, comme sortant de cette pauvre petite tête de martyr.

Vim patior (j’y suis forcé), disait cette voix, parlant latin.

On a pensé que le roi avait demandé protection à l’enfer et que le diable lui signifiait ainsi qu’une force plus puissante que la sienne le contraignait à l’abandonner à son mal.