lations zodiacales que parcourt annuellement le soleil. Elles partagent le Zodiaque en 12 parties :
1. Maison du Bélier, appelée l’Angle oriental ; c’est la maison de la Vie.
2. Maison du Taureau, appelée Porte inférieure ; c’est la maison des richesses et des moyens de fortune.
3. Maison des Gémeaux, appelée la Demeure des Frères ; c’est la maison des héritages et des successions.
4. Maison de l’Écrevisse, appelée le Fond du Ciel, l’angle de la terre, la demeure des parents ; c’est la maison des trésors et des biens de patrimoine.
5. Maison du Lion, appelée la Demeure des Enfants ; c’est la maison des legs et des donations.
6. Maison de la Vierge, appelée l’Amour de Mars ; c’est la maison des chagrins et des maladies.
7. Maison de la Balance, appelée l’Angle occidental ; c’est la maison des mariages et des noces.
8. Maison du Scorpion, appelés la Porte supérieure ; c’est la maison de l’effroi, des craintes et de la mort.
9. Maison du Sagittaire, appelée l’Amour du Soleil ; c’est la maison de la piété, de la religion, des voyages et de la philosophie.
10. Maison du Capricorne, appelée le Milieu du Ciel ; c’est la maison des charges, des dignités et des couronnes.
11. Maison du Verseau, appelée l’Amour de Jupiter ; c’est la maison des amis, des bienfaits et de la fortune.
12. Maison des Poissons, appelée l’Amour de Saturne ; c’est la maison la plus funeste, celle des empoisonnements, des misères, de l’envie et de la mort violente.
C’est ce symbolisme zodiacal qui sert de base à toute l’astrologie. Toutes les aptitudes, toutes les passions, tous les vices, toutes les vertus se trouvent répartis censément dans les 12 constellations. Quant à l’influence des planètes, au dire des astrologues, elle résulte de trois facteurs : 1° la nature de chaque planète ; 2° ses aspects ; 3° la maison dans laquelle se trouvent les planètes au moment de l’horoscope.
Celui qui tire l’horoscope doit donc tenir compte de toutes les circonstances et de beaucoup d’autres, à n’en plus finir.
Au fond, tous ces calculs ne riment à rien ; les règles en vertu desquelles il s’agit d’opérer sont de la plus haute fantaisie ; et vraiment le diable, en inventant cette pseudo-science, s’est moqué, de la plus mirifique façon, de nos pauvres mathématiciens impies, qui s’imaginent qu’en dehors de leur arithmétique il n’y a rien de vrai. Ah ! oui, certes, quel trompeur cynique, et en même temps ironique parfois, que messire Satanas, quand il se moque de ses dupes !… Naïf incrédule, mathématicien stupide, tu passes tes veilles à