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— L’heure de ton travail ? me demanda-t-il. (Page 75.)
— N’a pas ?… Fini, morto ?…
Puis, croisant les bras, il ajouta, en hochant la tête :
— Cent cinquante-deux !… Y en a, des années !
Je fis un haut-le-corps.
— Oui, reprit le Sata, Mâhmâh y en a cent cinquante-deux années… Y en a cent ans, n’a pas sorti d’ici… Indiens venir ici, Mâhmâh elle pas sortir pour appeler esprit…
Il m’expliqua alors, rapidement, que la vieille qu’il appelait Mâhmâh