Page:Taxil, Hacks, Le Diable au XIXe siècle, Delhomme et Briguet, 1894.djvu/749

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Me sentant doucement frapper sur l’épaule, je me retournai et restai bouche bée… Nous n’avions aucun passager à bord ; j’avais fermé avec soin ma cabine ; et pourtant quelqu’un était auprès de moi… C’était Athoïm-Olélath, le chef du laboratoire de Gibraltar… (Page 775).

quoi à n’en plus finir ; et ainsi, tout simplement, comme de braves gens qu’ils sont, je le répète, ils font leur salut ; ce qui est la meilleure preuve qu’ils ne sont pas des imbéciles.

Le lendemain du jour où je fus en butte à l’obsession dont je réserve le récit pour tout à l’heure, le maître d’équipage du Menzaleh, un breton, bon chrétien de vieille roche et qui était plein de bon sens, me raconta une histoire de pacte qu’il tenait pour authentique, d’après la parole de