Page:Tcheng Kitong - Le Theatre des Chinois, 1e ed. Calmann Levy, 1886.djvu/344

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maître, et pour arracher à ce despote un cri d’amour et de confiance. Se donner, livrer ses pensées, abandonner à une autre volonté ce mystérieux soi-même où résident les espérances de l’immortalité, est-ce possible, quand cette volonté n’est pas celle de Dieu, quand ce maître n’est pas la perfection même ?