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Page:Théophile Seyrig, Statique graphique des systèmes triangulés Exemples d'applications. Tome 2. Gauthier-Villars, 1886.djvu/97

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de la poutre elle-même, nous prenons (en faisant un choix convenable d'échelle):

puis EE, D

Menant par E, une parallèle à DF, et par E un parallèle à CE, nous aurons, en E, D,D,E,, le quadrilatère cherché, et par conséquent les va- leurs de S, D et I.

Cette méthode rend des services quand la longueur à est constante d'un bout à l'autre de la poutre, ce qui est le cas le plus fréquent. Elle donne alors très rapidement les maxima dans les poutres à membrures courbes ou polygonales, qui sont longues à calculer par les autres pro- cédés Pour cela, on trace le polygone des moments fléchissants en prenant une distance polaire exactement multiple de 2. Si y, est l'ordon- née de ce polygone correspondant à E, on a = X ni el, par conséquent, F, nyva- leur qui, prise à l'échelle, doit être représentée par EE.. Dans les recherches que nous allons exposer. sur la détermination maxima ou minima des efforts qui se produisent dans les divers types de construction, nous nous servirons tantôt de l'une, tantôt de l'autre des trois méthodes que nous venons de résumer..