Cette page a été validée par deux contributeurs.
CHANTS DE L’ATLANTIQUE
8
Mais toi, libre beauté ! rien ne peut te ternir,
Que t’importe demain que l’Europe s’effondre ?
Que t’importent passé, présent et avenir ?…
J’ai chanté mon poème au bord de tes deux grèves ;
Atlantique, merci, je te dois tous mes rêves !