Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/100

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Je consentis à le retrouver plus tard dans la journée dans un endroit sûr, et tout se serait bien passé s’il avait pris congé, mais le duc prolongea l’entrevue en continuant de m’embrasser. Bien que je n’attende pas mon mari avant un jour ou deux, un serviteur pouvait encore entrer dans le salon. Je me levai pour le faire partir, mais il restait assis.

Le bras autour de ma taille, il m’attira vers lui et déplaça ses baisers de mon cou vers mes seins. Je me penchai et embrassai son front blanc. Le désir prenait le contrôle de tous les deux. La main du duc glissa sous mes jupes et explora tous les mystères qui s’y cachaient. Puis il passa une de mes jambes par dessus ses genoux et je me retrouvai assise à califourchon sur ses cuisses, prise dans son étreinte et nos lèvres jointes.

Nous étions fous de prendre un tel risque dans cette position, alors que quelques heures plus tard nous aurions pu profiter l’un de l’autre en toute sécurité. Le duc sortit sa queue raide et je le sentis me supplier d’entrer entre mes cuisses. Je me levai à moitié pour m’arracher de ses bras, mais avec si peu de conviction qu’il me reprit.

Je m’assis directement sur son gland et mon poids facilita son entrée. Cela me remplit d’une sensation de plaisir si exquise que je m’abandonnai sans contrôle à mon désir. Il ne pouvait pas bouger librement, mais je l’aidai en ondulant des reins, ce qui déclencha mon plaisir. Mon orgasme se prolongeait et je n’avais pas fini de jouir quand mon mari ouvrit la porte et resta foudroyé à cette vue. Je sautai en arrière hors des bras du duc et ma robe retomba en couvrant ma nudité. Mais le duc était en train de jouir. Le sperme jaillissant de son gland épanoui éclaboussa ma robe et mes jupons.

Je restai immobile un instant, retournant dans mon cerveau des pensées incongrues, entre autres que ma belle robe rose était abîmée par les éclaboussures. En un instant je me levai et m’élançai hors de la pièce. Je