Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/101

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

m’enveloppai dans un long manteau à capuche tout en me sauvant dans le hall inférieur pour gagner la porte d’entrée. En la franchissant, j’entendis des piétinements et un fracas de meubles dans le salon au-dessus. C’était sans doute mon mari et le duc, engagés dans une lutte à mort.

Quelle en a été l’issue, je ne l’ai jamais su. Je suis arrivée à la gare au moment où un train allait partir. J’y suis montée et cela m’amena à Marseille. Même alors, je ne me sentis en sécurité qu’après avoir mis la Méditerranée entre la France et moi.