Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/103

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Chapitre XV

Conclusion

Renée conclut ainsi et elle attendit sa récompense. C’était enfin son tour. J’avais éveillé en profondeur les entrailles de huit de ces belles femmes et elles avaient joui sous mon étreinte. À quatre d’entre elles, j’avais payé un tribut de sperme. La nuit serait dignement couronnée par un hommage à la dernière et la plus belle.

Elle s’étendit de tout son long au milieu des coussins, la tête posée sur le dos de Laura. La charmante française me lança alors un regard séducteur sous ses longs cils et elle ouvrit ses gracieuses jambes fuselées.

Je m’agenouillai entre elles et embrassai ses belles cuisses blanches comme neige, tout près des épais poils roux qui les ornaient. Je plantai un autre baiser sur son ventre lisse et rond juste au-dessus de son pubis. Je volai des baisers voluptueux aux tétons roses de chacun de ses seins charnus, puis mes lèvres s’attardèrent sur le bouton de rose de sa bouche. Elle enroula ses doux bras blancs autour de moi pendant que je m’étendais sur son beau corps puis elle guida de ses doigts de lis mon gland vers le paradis qu’il recherchait.

J’y frayai lentement mon chemin. C’était délicieusement serré et élastique et chaud et juteux. Je dus m’y reprendre à plusieurs fois pour que ma tige entre complètement et je sentis aussitôt le corps de Renée tressaillir sous moi, puis se relâcher et s’abandonner. Ses bras relâchèrent leur étreinte et son fourreau se détendit, trempé d’humidité.