Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/104

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« Reste allongé encore une minute, murmura-t-elle, et je pourrai te finir ».

Je m’étendis sur elle, mon gland trempé dans les replis les plus intérieurs de son ventre.

La taille de Laura lui servait encore d’oreiller et ma bouche quittait la bouche rose de Renée pour embrasser les gros seins de Laura, si commodément proches, et mes doigts fouillaient la gaine tout aussi commode de Laura.

Inez se blottit contre nous et cacha les doigts de mon autre main entre ses cuisses.

Hélène, agenouillée de l’autre côté, caressait doucement mes bourses de ses doigts fins.

Zuleika, Myrzella et Virginia m’embrassaient le dos, les épaules et le cou.

J’abandonnai mes pieds à Amie et El Jelis, qui s’assirent en prenant chacune un pied entre leurs cuisses de sorte que mes orteils pouvaient fouiller leur grotte.

Les caresses de ces neuf femmes charmantes et amoureuses me communiquèrent rapidement un excès de vigueur. Mon membre redevint parfaitement rigide.

Renée se réveilla pour assumer la responsabilité qui était la sienne. En signe qu’elle était de nouveau prête, elle darda sa langue dans ma bouche pendant que je suçais ses lèvres. Son fourreau se resserra à nouveau et je sentis ses membranes les plus intimes se contracter convulsivement et se saisir lascivement de mon gland. Je répondis en lui donnant une poussée profonde et prolongée, puis prenant appui sur mes orteils dans les chaudes vulves où ils reposaient, j’enfonçai complètement ma hampe dans son écrin. Renée gonflait son ventre pour venir au-devant de chacune de mes poussées. Je sentis le plaisir monter. La moelle même de mes os semblait envahir mes glandes vidées. Mon rythme devint plus rapide, jusqu’à ce que les nerfs de ma queue semblent mis à nu.

Renée redoubla d’efforts. Tout en soulevant son ventre pour venir à ma rencontre, elle lui imprima