Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/105

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un mouvement de rotation qui le fit onduler autour de mon gland. Le moment suprême arriva enfin et mon plaisir explosa. C’est toute mon énergie vitale qui semblait ainsi jaillir. Je poussai un profond gémissement d’extase et je m’écroulai comme une masse presque inanimée sur le corps brûlant et haletant de Renée. Elle continua d’enserrer mon membre hampe pour compléter son propre plaisir, et put encore extraire de moi quelques gouttes après que je complètement anéanti. J’entendis plusieurs femmes mêler leurs soupirs aux siens, et mes doigts et mes orteils baignaient dans les fluides qu’elles répandaient en même temps que nous. Je restai longtemps incapable de bouger, complètement rassasié.

« Ça fera un autre garçon aux yeux bleus, dit Myrzella.

— J’ai l’impression que ce sont des jumeaux », déclara Renée, exerçant une pression de plus sur mon membre rétréci.

Quand j’eus récupéré suffisamment pour pouvoir bouger, mon premier regard alla vers l’horloge. L’aube était proche, et il fallait que je parte. Elles m’aidèrent à m’habiller, car je n’avais pas la force d’un chaton. Chacune d’elles échangea avec moi un tendre baiser, puis je passai par la fenêtre où pendait la corde de châles — mais je me sentais trop faible pour grimper. J’attachai la corde autour de mes bras et elle se mirent ensemble pour le faire descendre en toute sécurité.

J’éloignai ma barque de la rive et mis la voile. La brise de terre venait de se lever et à peine avais-je gagné le large que j’aperçus mon vaisseau aller et venir à ma recherche. Une heure plus tard, j’étais en sécurité à bord.