Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/18

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Mes doigts étaient encouragés par la main de la belle jusqu’à ce que je fasse pénétrer deux d’entre eux qui restèrent prisonniers de la chair chaude et humide. Le petit bouton que toutes les femmes ont à cet endroit, et qui est le siège principal de leurs sensations, était chez elle remarquablement développé. Il était aussi gros que le bout de mon petit doigt. Je jouai avec, le pinçai et le caressai tout en plongeant mes doigts de plus en plus loin ; elle manifesta son plaisir en m’embrassant dans le cou, où elle avait caché son visage.

Pendant qu’Inez décrivait son premier frisson dans la scène de la chambre à coucher, mes doigts faisaient tout leur possible pour donner du plaisir à l’autre femme ; avec succès, car ils furent soudain baignés de son jus et en même temps elle poussa un profond soupir que personne ne remarqua, car tout le monde pensa que c’était dû à l’histoire d’Inez. Puis elle retira ma main et resta parfaitement immobile. Inez fut sur le point de lui tendre l’écharpe, mais elle était si immobile qu’elle la donna à une autre.

« Elle, dit Inez, c’est Hélène, elle est Grecque. Elle te racontera son histoire et ensuite elle fera tout ce que tu voudras ».

Ma tête reposait encore sur la poitrine d’Inez. Hélène sourit, puis se pencha et m’embrassa. Elle était de taille moyenne, très mince, mais gracieuse et bien ronde, et sa peau était aussi blanche que l’albâtre. Ses traits semblaient sortis d’un parfait moule antique, éclairés par de beaux yeux gris. Sa brillante chevelure noire était ramenée en un nœud juste au-dessous de la nuque, et il s’en échappait de chaque côté une boucle unique qui jouait avec un sein ferme et finement arrondi.

Le vermillon profond de ses lèvres contrastait avec la pâleur de ses joues, dont le teint était à peine plus soutenu que celui de ses oreilles finement découpées. Elle avait environ vingt-deux ans et était prête à offrir une charmante étreinte. Je l’amenai à s’asseoir sur mes genoux et lui demandai de commencer son histoire.