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Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/19

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Chapitre III

L’histoire de la dame Grecque

Je suis entrée vierge dans le lit nuptial. Après le départ des demoiselles d’honneur, je tremblais d’appréhension et j’enfouis ma tête sous les draps. C’était que j’avais entendu tellement d’histoires sur les épreuves subies par une vierge lors de sa nuit de noces, et non parce que j’avais de l’aversion pour mon mari ; au contraire, je l’aimais bien.

Sa cour avait été de courte durée, car c’était un homme très occupé dans le service diplomatique du gouvernement grec. Il n’était plus jeune, mais il était beau et viril, et j’étais fière qu’il m’ait choisie parmi toutes les autres filles d’Athènes. Mon cœur se mit à battre encore plus violemment quand il est entré. Il est venu sur le côté du lit et, en retirant le drap de dessus ma tête, il vit combien j’étais agitée. Il a simplement embrassé ma main, puis il est allé de l’autre côté de la pièce pour se déshabiller. Cette attitude m’a quelque peu rassurée.

Quand il s’est mis au lit et m’a prise dans ses bras, je lui ai tourné le dos. Il n’a pris aucune liberté avec ma personne, mais il a commencé à me parler des incidents de la journée du mariage. Je fus bientôt si calme que je le laissai me retourner face à lui, et il m’embrassa d’abord sur le front, puis sur les lèvres.

Au bout d’un moment, il me demanda de lui rendre ses baisers, disant que si je ne le faisais pas, cela montrerait que je ne l’aimais pas ; ainsi encouragée, je lui rendis ses baisers. Après être restée assez longtemps dans ses bras pour me sentir à l’aise, il me mit