Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/25

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Hélène termina ici son histoire. Pendant tout ce temps, j’étais allongé sur le dos, la tête appuyée sur le sein d’Inez. Hélène se tenait face à moi à califourchon sur mon ventre, ce qui me donnait une image détaillée de ses charmes les plus secrets. Elle s’arrangea pour laisser tomber l’écharpe sur ses cuisses et par-dessous, ses petits doigts effilés se mirent à jouer avec mon sexe souple.

À mesure que l’histoire se déroulait, il commença à se raidir et, pendant qu’elle décrivait la scène de la chambre à coucher, elle parvint à le faire entrer dans son antre, qui se trouvait juste au-dessus. Mon membre grandit de plus en plus jusqu’à devenir presque rigide, vivifié qu’il était par la retraite étroite où il se cachait. Elle continua à onduler des reins pendant la suite de l’histoire jusqu’à ce que vers la fin, je sois prêt à exploser. Au même instant, je sentis ma tige trempée par les fluides de la jolie Grecque et elle tomba évanouie dans les bras de sa voisine.

Mon membre est sorti d’elle avec un bruit de succion qui fit rire tout le monde. Elle s’empressa de donner le foulard à la dame dans les bras de laquelle elle reposait et dans le sein de laquelle elle tenait son visage.

« C’est à toi, Zuleika », s’écrièrent-elles toutes en chœur. Zuleika avait l’air très embarrassée. Âgée d’environ dix-huit , elle ressemblait beaucoup à Inez, qu’elle égalait en taille, mais elle était plus musclée et sa peau était d’un bronze foncé.

Ses grands yeux brillants étaient aussi sombres que la nuit. Il en était de même pour ses cheveux bouclés, rehaussés d’un turban neigeux sur lequel brillait un croissant d’argent bruni. La couleur s’accentuait sur ses joues sombres lorsqu’elle commença timidement.